Le terme « assistance sociale » couvre un large éventail de mesures de solidarité mises en œuvre par la communauté pour venir en aide aux personnes âgées qui ne peuvent pas se soutenir mutuellement. À la maison, elle se traduit en femme de chambre et en établissement par ASH, participant au financement de l’hébergement.
Plan de l'article
Pour aider les personnes âgées à faible revenu, la loi prévoit des prestations sociales qui facilitent leur prise en charge à la fois à domicile et en institution. L’ assistance sociale juridique, qui est un droit automatique, diffère de l’assistance sociale volontaire, qui dépend de la politique fiscale de chaque communauté. Depuis la mise en œuvre de la politique de décentralisation, l’assistance sociale est gérée par le Conseil général de chaque département.
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La subvention d’autonomie personnalisée (APP) constitue la plus grande partie de l’aide sociale aux personnes âgées dépendantes (RIF 1-4). Permet d’établir un Plan d’assistance personnalisé pour financer des services visant à soutenir la perte d’autonomie.
À la maison, les personnes âgées qui ne répondent pas aux critères de l’APP (RIF 5-6) peuvent encore réclamer à la femme de ménage, payée par le conseil départemental ou la caisse de retraite. Cette aide est accordée dans des conditions de revenu à ceux qui ont des difficultés à accomplir certains actes de la vie quotidienne.
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Voici les programmes d’aide sociale pour les personnes âgées. L’objectif de cette prestation est de couvrir le taux de logement en institution pour personnes âgées.
L’ accès aux prestations d’aide sociale pour les personnes âgées (à l’exception de l’APA) est considéré comme subsidiaire : il n’intervient pas seulement en dernier ressort si la personne ne peut recevoir aucune autre aide.
En outre, le plan de santé fournit une aide financière aux personnes âgées à faible revenu :
- couverture sanitaire complémentaire universelle (CMU-C),
- aide au paiement santé complémentaire (ACS).
En principe, toute personne âgée peut être logée dans l’institution d’accueil de son choix : Ehpad, résidences autonomes, maisons de retraite non médicalisées…
Il existe plusieurs formes de soutien au logement dans une maison de soins infirmiers. Parmi elles, l’aide sociale est fournie aux personnes âgées qui ne disposent pas des ressources suffisantes pour payer les frais de logement.
Pour bénéficier de l’aide sociale à Ehpad ou maison de retraite, les conditions suivantes doivent être remplies :
- âge : 65 ans ou plus (60 ans en cas d’incapacité de travail),ressources : manque de ressources suffisantes pour
- assurer le coût du logement dans une maison de soins infirmiers, même avec l’aide de toute personne tenue de subvenir aux besoins, ou disposer de ressources inférieures dans les limites de l’assistance sociale,
- lieu de résidence : résidant en France et ayant la nationalité française ou, pour les étrangers, être titulaire d’un permis de séjour en cours de validité.
Pour bénéficier de l’aide sociale, les personnes âgées doivent également être logées :
- dans un établissement agréé à l’aide sociale,
- dans une institution n’ayant pas droit à l’assistance sociale, à condition que le demandeur y soit resté pour payer plus de cinq ans et que ses ressources ont laissé pour vous permettre de supporter les coûts de la garantie.
La demande d’assistance sociale (ASH) peut être retirée du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS), qui peut également aider à compléter la demande.
L’ allocation et le montant de l’aide sociale dans une maison de soins infirmiers dépendent de l’évaluation de la situation personnelle du demandeur. Une enquête est en cours menée par la commission départementale de l’aide sociale.
Le montant de l’aide fournie par la communauté est variable et dépend : de la participation du bénéficiaire : 90% de ses revenus sont affectés au paiement de ses frais d’hébergement,
- de la contribution des événements alimentaires ,
- le montant des frais de logement de la résidence du demandeur.
Les frais de subsistance sont payés directement par l’aide sociale dans la maison de retraite, sur la base d’un taux journalier fixé annuellement par le président du Conseil général.
En contrepartie, 90 % des ressources du résident sont récupérées par le ministère, qui doit toutefois laisser à sa disposition un minimum mensuel pour son usage personnel. Ce minimum régulièrement réévalué n’est pas inférieur à 96 EUR par mois en 2018.
Cependant, dans le cas d’un logement dans un abri, le montant laissés à la disposition du bénéficiaire ne peut pas être inférieur à l’âge minimum de vieillesse (ASPA).
Le cas échéant, le Comité de protection sociale pour les personnes âgées tient compte des besoins du conjoint éventuel qui se trouve à la maison. Dans ce cas, le montant à laisser à la disposition du conjoint équivaut à la vieillesse minimale majorée du montant des frais de location.
Maison de l’hôtel de ville
Étape | Qui prend soin de lui | Détails | |
Entrée à la maison de retraite Demandeur | ou aidants | Recherche d’un espace d’aide sociale et obtention d’un certificat de retraite | |
Rédaction d’une demande d’aide sociale | Les aidants naturels | Le dossier est tiré de la CCAS ou de l’ | évaluation des ressources |
La CCAS et le Conseil ministériel | Enquête sur les ressources des personnes âgées et des personnes ayant besoin de soutien | ||
Contrôle et enquête du dossier de demande | O Département Comité d’admission à la protection sociale | Contrôle du processus et décision du président du conseil ministériel | |
Notification de la décision | Le Conseil ministériel | Si le dossier est accepté, le demandeur reçoit une notification indiquant éventuellement la partie des brigades |